Je suis désolé, mais il semble qu'une partie du texte en allemand manque dans votre demande pour la traduction en français. Pourriez-vous fournir le texte allemand que vous souhaitez que je traduise ?
Je suis désolé, mais il semble qu'une partie du texte en allemand manque dans votre demande pour la traduction en français. Pourriez-vous fournir le texte allemand que vous souhaitez que je traduise ?
2025-06-26

Conduire sur des routes inconnues à l'étranger peut présenter certaines embûches selon les experts d'Arag. Ce qu'il faut savoir à ce sujet est expliqué par l'expert d'Arag et avocat spécialisé en droit routier, Jan Kemperdiek.

En principe, le permis de conduire allemand est valable dans tous les pays de l'Union européenne (UE) – aussi bien les anciens exemplaires en papier gris et rose que les nouvelles cartes plastiques. Parfois, cependant, les anciens permis en papier ne sont pas acceptés lors des contrôles et cela peut poser des problèmes. Si l'on se rend par exemple dans des pays africains, asiatiques ou sud-américains, il est préférable d'avoir un permis de conduire international selon Kemperdiek . Dans certains pays, une traduction certifiée du permis en anglais suffit. Et si l'on possède un permis de conduire provisoire, on ne devrait généralement pas conduire à l'étranger. Avant le voyage, il est également recommandé de consulter le site du ministère des Affaires étrangères, où l'on peut notamment trouver des informations sur les limitations de vitesse et les taux d'alcoolémie autorisés.

Des limitations de vitesse et des amendes En ce qui concerne la vitesse, il est conseillé de se renseigner sur les limitations de vitesse en vigueur avant le voyage. Cela peut se faire, comme mentionné, via le ministère des Affaires étrangères. La vitesse maximale autorisée est différente selon les pays, même au sein de l'UE, selon Kemperdiek. Sur les autoroutes

italiennes et roumaines, par exemple, la vitesse maximale autorisée est de 130 kilomètres à l'heure, alors qu'à Malte, elle n'est que de 80.

Les amendes pour excès de vitesse varient également énormément. Si vous roulez 20 kilomètres à l'heure de trop, vous paierez 50 euros en Pologne, alors qu'en Norvège, ce sera au moins 610 euros. En France, vous risquez une amende jusqu'à 1 500 euros pour un excès de vitesse de 50 kilomètres à l'heure ou plus. Et en Suisse, vous pourriez même risquer une peine de prison pour excès de vitesse en agglomération.

Une contravention étrangère dans la boîte aux lettresSi vous recevez une contravention par la poste, vous ne devriez en aucun cas la jeter, mais la prendre au sérieux, selon Kemperdiek. En effet, si une contravention exécutoire n'est pas payée, cela peut non seulement entraîner des mesures d'exécution internationales et des procédures judiciaires. Vous pourriez également rencontrer des problèmes lors de futurs voyages dans le pays concerné, allant jusqu'à une interdiction d'entrée ou à la saisie du véhicule.

Si vous souhaitez contester l'infraction, vous pouvez bien entendu faire opposition à la contravention. Il est toutefois crucial de respecter les délais et les procédures et de prendre en compte que cela pourrait devoir se faire dans la langue du pays. Il sera alors nécessaire de recourir à l'aide d'un traducteur ou d'un avocat.

Flashé avec une voiture de location Lors d'un

trajet avec une voiture de location et d'un dépassement de la limitation de vitesse, il est possible, selon Kemperdiek, que la contravention soit d'abord envoyée à l'agence de location, qui la transmet ensuite au locataire, souvent avec des frais de traitement supplémentaires. Car en cas d'infractions au code de la route avec une voiture de location, c'est toujours le locataire qui est responsable.

En France, pour les contraventions, jusqu'à 45 euros peuvent être déduits selon l'infraction si l'on paie dans les délais. Et en Espagne, au Royaume-Uni et en Grèce, il est possible de faire jusqu'à 50 % d'économies. Et si vous voyagez à l'étranger avec une assurance protection juridique adaptée, vous économisez, selon l'expert en droit routier, du temps, de l'argent et du stress dans tous les litiges juridiques, par exemple après un accident ou en cas de litige avec le loueur.

Accident à l'étrangerLa règle la plus importante en cas d'accident à l'étranger est de ne pas reconnaître la faute. Il vaut mieux appeler immédiatement la police. Si le véhicule adverse est immatriculé à l'étranger, il convient aussi de demander la Carte Verte de l'adversaire. Car il s'agit ensuite, selon Kemperdiek, de documenter l'accident. Le lieu de l'accident et tous les détails pertinents doivent être photographiés, et le numéro d'immatriculation de l'adversaire, son pays d'origine ainsi que la date et le lieu de l'accident doivent être consignés dans un rapport d'accident. De

plus, on peut se servir du constat d'accident européen, disponible gratuitement sur Internet dans plusieurs langues ou proposé par les assurances. Il peut même être utilisé au Royaume-Uni. Dans certains pays, le contenu de la déclaration d'accident signée est considéré comme une preuve. Il ne faut donc signer que ce avec quoi on est d'accord. Votre assurance responsabilité civile automobile doit ensuite être informée dans un délai d'une semaine, peu importe qui semble responsable de l'accident à première vue. Par exemple, grâce au "Centre d'appel des assureurs automobiles", les vacanciers peuvent entrer en contact avec l'assurance de l'adversaire. À ce moment-là, il est utile d'avoir tous les documents mentionnés ci-dessus à portée de main.Documents et assurances pour l'étranger Avant le voyage, il faut toujours s'assurer que tous les documents nécessaires sont disponibles, de préférence également en copie, au cas où des documents de remplacement devraient être obtenus. Cela comprend le permis de conduire, le certificat d'immatriculation partie I (carte grise) et la « carte internationale d'assurance automobile », en abrégé « Carte Verte ». Elle atteste d'une assurance automobile dans le pays étranger et peut être demandée auprès de votre propre assurance automobile. Dans certains pays, elle doit même être présentée à l'entrée. La « Carte Verte » contenant des informations importantes sur le titulaire et l'assurance du véhicule, elle peut considérablement faciliter la gestion d'un sinistre à l'étranger, conclut l'expert en droit routier.